Naturopathie Africaine

Traitement des fibromes avec la Naturopathie Africaine

L’utérus est relié à la féminité, à la sexualité, à la maternité et également, symboliquement, au nid, au foyer familial. Ainsi, des fibromes dans l’utérus vont renvoyer à des événements et des chocs émotionnels en lien avec ces notions.

Les fibromes sont caractérisés comme des tumeurs bénignes de l’utérus. Microscopiquement petites ou si grandes qu’elles remplissent le bassin. Il peut y avoir un ou plusieurs fibromes. Les fibromes peuvent être situés dans diverses zones de l’utérus et sont nommés de manière appropriée.

Fibromes myométriaux: trouvés dans la couche musculaire de l’utérus.

Sous-muqueuse: située sous la surface de la muqueuse utérine

Sous-sérum: trouvé sous le revêtement externe de l’utérus.

Pédonculé: sur une longue tige à l’extérieur ou à l’intérieur de la cavité de l’utérus.

Ils peuvent se produire comme des excroissances uniques ou multiples dans l’utérus. Des fibromes peuvent être présents chez jusqu’à 20 à 50% des femmes en âge de procréer. Ils surviennent après la ménarche et se résolvent par la ménopause. Le risque que les fibromes deviennent cancéreux est très faible. Pour stimuler la capacité innée du corps à guérir, les causes de la maladie doivent être identifiées et traitées. Avec les fibromes utérins, les causes sont variables et incluent le mode de vie et les facteurs environnementaux. Une évaluation détaillée est nécessaire pour déterminer quels facteurs contribuent aux fibromes utérins.

Facteurs diététiques

La consommation de fruits est liée à un risque plus faible de fibromes utérins. Un index glycémique (IG) et une charge glycémique élevés peuvent être associés à un risque accru de fibromes chez certaines femmes. On soupçonne qu’il existe un lien entre les aliments qui augmentent les intolérances aux œstrogènes et / ou alimentaires et le risque accru de fibromes utérins. Une consommation d’alcool plus élevée est associée à un risque accru. Des niveaux accrus d’activité physique sont associés à un risque réduit.

Un tabagisme excessif ou des antécédents plus longs de tabagisme peuvent augmenter le risque de développer des fibromes.

L’exposition à des métaux lourds :qui ont un impact sur les œstrogènes, comme le cadmium, peut augmenter le risque de fibromes. On soupçonne qu’il existe une infection à levures ou moisissures sous-jacente dans certains cas. Les antécédents de contraceptifs oraux ou d’autres médicaments ayant un impact sur les taux d’œstrogènes ou d’autres hormones peuvent augmenter le risque de développer des fibromes. La génétique : Les femmes Africaines sont plus susceptibles de développer des fibromes que les femmes caucasiennes ou occidentales.

Sur le plan émotionnel

L’utérus est relié à la féminité, à la sexualité, à la maternité et également, symboliquement, au nid, au foyer familial. Ainsi, des fibromes dans l’utérus vont renvoyer à des événements et des chocs émotionnels en lien avec ces notions.

  • Avoir vécu un traumatisme ou un choc émotionnel au niveau familial ou au niveau du couple et en être encore marquée ou avoir gardé en soi des émotions (tristesse, colère, rancoeur, désespoir..etc).
  • Ressentir de la culpabilité ou de la honte au niveau intime, familial ou amoureux.
  • Accumulation de frustration, d’émotions « négatives », parfois héritées des autres générations si les traumatismes n’ont pas été guéris.
  • Ressentir de la culpabilité, consciente ou inconsciente, et/ou des regrets en lien avec le fait de ne pas avoir d’enfant ou de ne plus pouvoir avoir d’enfant.
  • Ressentir un vide intérieur en lien avec une fausse-couche, un avortement ou quelqu’un qu’on a perdu (suite à un deuil, une séparation, le départ des enfants de la maison…etc).
  • Avoir eu un fort désir d’enfant qui n’a pas pu se concrétiser.
  • Avoir tendance à être dépendant de l’extérieur et avoir du mal à se connecter à soi et à ses besoins profonds, et à les satisfaire.
  • Difficulté à se connecter à sa créativité et surtout à l’exprimer concrètement, ce qui peut amener des regrets et de la frustration.
  • Avoir des regrets de ne pas avoir fait certaines choses, de ne pas avoir mis sur pied certaines idées qui nous tenaient à coeur.
  • Difficulté à aller vers le changement, la nouveauté, rester dans une routine peu satisfaisante mais sécurisante.

Pour prévenir l’apparition de fibromes ou aider à les faire diminuer ou disparaitre, ça va être important de prendre le temps de se connecter à soi et d’accueillir ses émotions, notamment par rapport à des choses qu’on a mal vécues et qui ont pu nous traumatiser au niveau intime et familial. Si on a de la culpabilité ou des regrets par rapport à ce qu’on a fait/pas fait, il va plutôt falloir aller vers l’acceptation et le fait de se pardonner.

De manière générale, ça va bénéfique d’arrêter de ressasser le passé, de nourrir des regrets ou de la rancœur pour plutôt se concentrer sur le présent et sur ce qu’on peut faire ici et maintenant pour se sentir bien dans sa vie. Cela passe notamment par le fait d’apprendre à mieux connaitre ses envies et ses besoins et d’oser exprimer sa créativité, ses idées, d’agir dans le sens de ses rêves. Si on n’a pas l’impression d’avoir vécu des choses difficiles dans sa vie, on peut éventuellement porter en soi un bagage transgénérationnel, c’est-à-dire des mémoires émotionnelles non réglées des ancêtres. Dans ces cas là, un nettoyage énergétique axé sur le transgénérationnel peut aider à libérer certaines choses, au rythme de chacun.

La naturopathie africaine propose des protocoles de soins (détox, nutrition, Argilothetapie, massothérapie), un nettoyage énergétique par des séances de méditation qui vont aider à la libération de tout ce qui est accumulé dans l’utérus et qui génère potentiellement des problématiques physiques ou émotionnelles avec pour objectif de diminuer voire disparaitre les fibromes.

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