Avez-vous déjà éprouvé le sentiment que la détresse contrôlait votre vie?
Peut-être n’est-ce même pas une maladie chronique ! Vous nourrissez-vous de la colère ? Du ressentiment ? De la frustration, des croyances limitantes ?
Au cours des années, j’ai vu toutes ces choses avoir des répercussions négatives sur la vie de mes clients. Par conséquent, dans ce court discours, j’ai fait choix d’aborder quelques étapes créatives et positives, propices à la guérison.
D’elles, j’espère, vous gagnerez de la perspicacité en vous-même, dans vos comportements, et pourquoi pas, jusque dans la façon dont vous déposez ou retirez de votre propre guérison…
Première étape : comprendre son énergie
Nous avons tous entendu parler de l’aura qui entoure le corps, mais quel rapport cela pourrait- il avoir avec notre santé?
L’échange énergétique qui se produit dans ce domaine se situe là où nos pensées se transforment pour se convertir en énergie là où la biographie d’une personne devient leur biologie.
Interprétation ancestrale : ces cycles ou ondes d’énergie qui entourent notre corps, sont une fonction de nos pensées. Les pensées sont donc des ondes d’énergie qui affectent notre santé d’une manière positive ou négative.
Regardons d’un peu plus près pour comprendre pourquoi cela se produit :
Les contributeurs à cette énergie entourant le corps sont les 7 principales « roues ou vortex ». Il peut être utile de désigner chaque roue énergétique comme étant un « ordinateur » qui recueille et interprète l’information et les « perceptions » que l’esprit a sur le monde.
Il a été scientifiquement démontré que chacune de ces 7 roues énergétiques correspond à une glande endocrine particulière dans le corps.
Interprétation ancestrale : à la lumière de la pensée, « vous êtes ce que vous mangez », nous pourrions conclure avec un certain degré de certitude que « vous êtes ce que vous pensez.«
Deuxième étape : se défaire des vieilles blessures
À présent que vous avez, (je l’espère), examiné vos pensées, et que vous avez converti toute votre énergie négative en énergie positive, nous lançons une autre balle courbe.
Seriez-vous d’avis que « la guérison n’est pas intéressante ? » Je vous demande de prendre le temps de réfléchir à ceci : pourquoi dans le monde, la guérison ne serait pas attractive ?
Réponse : nos blessures nous donnent du pouvoir ! Et après mûre réflexion j’ai décrit trois des canevas par lesquels nous permettons cela (et nous en avons tous été coupables à un moment donné).
Demandez-vous : menez-vous votre vie avec vos blessures ? Vous le saurez si vous avez eu recours à l’un des agissements suivants :
1. Blessures utilisées pour manipuler une situation ou une personne.
Disons que nous trouvons une situation désagréable, effrayante, ou risquant d’enflammer un » bouton rapide personnel. » Avez-vous déjà esquivé une situation que vous aviez vraiment besoin d’affronter de front?
Ou, que diriez-vous de ceci : « Je ne peux pas entrer dans cette relation – J’ai été brûlé dans le passé! » Donc, l’on se sert de ce prétexte, pour éviter d’aimer inconditionnellement. Combien de fois avez-vous fait cela?
2. Utilisez-les pour attirer d’autres âmes blessées qui veulent établir des échanges fondés sur les jeux des blessures.
En écoutant les autres échanger sur leurs blessures, avez-vous renoncé à la compassion pour la blessure : « Je te verrai et t’élèverai. »
Je suis d’accord, il y a une différence entre guérir d’une blessure et « mener sa vie avec une blessure). Mais, à mon humble avis, je serais prêt à parier que nous connaissons la différence entre être en santé ou ne pas l’être.
Par exemple, je sais quand je suis en bonne santé, ou quand je peux écouter l’autre avec empathie, sans sortir ma boîte à outils pour « réparer » ou exposer mes blessures non sollicitées.
3. Renoncer à notre capacité d’écoute.
On dit souvent que l’écoute est l’œuvre des anges. Souvent, l’écoute est tout ce que nous avons, face à une situation où quelqu’un nous demande de l’aide. Si nous exprimons ce que nous appelons « blesséologie » ou le fait de diriger au moyen de nos blessures.
Nous nous persuadons que nous ne saurions supporter la perte de puissance, ni résister au désir d’accaparer toute l’attention sur nous-mêmes. Cette attitude n’aidera pas notre prochain, qui a fait appel à nous, pour une écoute active.
Lorsqu’une personne, en raison de la perte d’un être cher, vient se confier à vous, tout en l’écoutant attentivement, votre esprit lui, cherche frénétiquement dans ses expériences passées un événement semblable.
Tout cela pour que vous vous entendiez dire à votre interlocuteur : « oh, c’est terrible ! Mais ne vous sentez pas si mal, vous savez, j’ai, moi aussi vécu une situation similaire, mais bien pire que la vôtre !
Cependant, pour redresser la barre, après que, nous avons réalisé l’étendue de notre lapsus, nous devons nous rattraper et nous relever. En réalité, tout ce dont cette personne avait vraiment besoin, c’était qu’on lui prête notre oreille, pour une écoute inconditionnelle.
Troisième étape : apprendre à se pardonner et à pardonner aux autres.
Les deux dernières étapes sont des remèdes, susceptibles d’aider à guérir notre colère, notre ressentiment et notre frustration. La troisième étape est simplement le pardon.
Parvenir à pardonner sérieusement consiste à tirer notre énergie à partir de notre investissement émotionnel dans le passé. Ce faisant, nous allons renoncer à la nécessité de dépenser de l’énergie gaspillée, en y effectuant des dépôts négatifs dans ce compte.
Finalement, procéder ainsi deviendra le moyen d’accès le plus rapide en temps réel à notre énergie.
Interprétation ancestrale : croyez-moi, vous saurez reconnaître le pardon authentique lorsque vous en ferez l’expérience. Le corps s’exprime littéralement « allons-y » du poids du passé.
Quatrième étape : s’aimer, soi-même
La dernière étape créatrice et positive vers de la guérison ? Aimer soi-même, bien sûr! C’est le concept le plus difficile, à mon avis. Pourquoi ? Tout d’abord, nous devons commencer là où nous nous situons, nous aimer et nous accepter pour ce que nous sommes aujourd’hui.
En quoi cela aiderait-il notre santé? C’est simple, dès que nous réalisons que nous ralentissons notre croissance personnelle ainsi que notre santé par un discours interne négatif, nous pouvons alors commencer à nous aimer, une partie de nous, à la fois.
Voici comment procéder
Chaque jour, passez 5 à 15 minutes dans la méditation ancestrale en envoyant de l’amour !
Commencez modestement, trouvez une partie de vous-même à aimer. Chaque jour, chaque semaine ou chaque mois, faites le choix de nouvelles parties de vous-même à aimer.
En peu de temps, vous éprouverez progressivement un amour inconditionnel pour vous- même et vous aurez purifié votre énergie, pour commencer !
En conclusion, nous pourrions rendre toutes ces étapes très simples, en effet. Car il n’y a qu’une seule étape ici qui vous rendra sain et heureux.
Rappelez-vous : c’est quand nous avons appris à nous aimer que nous puissions vraiment être guéris et prêts à passer à l’amour inconditionnel des autres.
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